TUNIS,14 mars (Xinhua) -- Les travaux de la 5ème conférence internationale de la finance se sont achevés, samedi, à Hammamet ( Tunisie), qui a réunie d'éminents spécialistes et chercheurs de 56 pays parmi lesquels le prix Nobel d'économie, le professeur Edward Prescott.
Au cours de la séance de clôture, le ministre tunisien des Finances Mohamed Rachid Kechiche a évoqué, les principales causes de la crise financière dans le monde.
Il a cité notamment le développement disproportionné de la sphère financière, en déconnexion totale par rapport aux exigences fondamentales de la sphère réelle de production.
Ce facteur, a-t-ajouté, conjugué avec l'absence d'instruments fiables de régulation sur le plan international et dans certains pays développés et avec l'absence de transparence ont conduit à la dérive.
Le ministre a remarqué que la situation de doute qui s'est installée a crée une psychose marquée par l'absence d'optimisme et de confiance, deux facteurs considérés jusque là piliers et fondements de l'investissement et de la croissance.
S'agissant de la situation dans son pays, Kechiche a précisé que la Tunisie, n'est pas à l'abri de cette crise, soulignant en revanche que l'alarmisme n'est pas de mise et que la force est en la détermination à prévenir les effets de la crise sur l'économie nationale.
Il a noté que son pays demeure attentif à toutes sortes de signaux et n'épargne aucun effort pour dépasser ce cap tout en maintenant ses prévisions de croissance à un niveau d'au moins 4% à prix constant.
Les travaux de la 5ème conférence internationale de la finance se sont ouverts jeudi, avec la participation de 1.000 participants. A l'ordre du jour de cette conférence, l'examen des questions relatives à la crise financière mondiale, aux risques de la gestion, au financement des projets et aux stratégies financières.
Les participants ont aussi évoqué le rôle des banques centrales dans le contexte de la crise économique mondiale, et la contribution du marché financier aux projets, les garanties contre les risques de gestion, le tourisme et l'appui aux investissements dans des projets innovants.
Au cours de la séance de clôture, le ministre tunisien des Finances Mohamed Rachid Kechiche a évoqué, les principales causes de la crise financière dans le monde.
Il a cité notamment le développement disproportionné de la sphère financière, en déconnexion totale par rapport aux exigences fondamentales de la sphère réelle de production.
Ce facteur, a-t-ajouté, conjugué avec l'absence d'instruments fiables de régulation sur le plan international et dans certains pays développés et avec l'absence de transparence ont conduit à la dérive.
Le ministre a remarqué que la situation de doute qui s'est installée a crée une psychose marquée par l'absence d'optimisme et de confiance, deux facteurs considérés jusque là piliers et fondements de l'investissement et de la croissance.
S'agissant de la situation dans son pays, Kechiche a précisé que la Tunisie, n'est pas à l'abri de cette crise, soulignant en revanche que l'alarmisme n'est pas de mise et que la force est en la détermination à prévenir les effets de la crise sur l'économie nationale.
Il a noté que son pays demeure attentif à toutes sortes de signaux et n'épargne aucun effort pour dépasser ce cap tout en maintenant ses prévisions de croissance à un niveau d'au moins 4% à prix constant.
Les travaux de la 5ème conférence internationale de la finance se sont ouverts jeudi, avec la participation de 1.000 participants. A l'ordre du jour de cette conférence, l'examen des questions relatives à la crise financière mondiale, aux risques de la gestion, au financement des projets et aux stratégies financières.
Les participants ont aussi évoqué le rôle des banques centrales dans le contexte de la crise économique mondiale, et la contribution du marché financier aux projets, les garanties contre les risques de gestion, le tourisme et l'appui aux investissements dans des projets innovants.
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